Les légendes urbaines ont toujours fait partie intégrante de notre culture populaire. De la mystérieuse Dame Blanche aux terribles Bloody Mary et Slender Man, ces histoires fascinent autant qu’elles effraient. Et avec l’avènement des jeux vidéo, un nouveau terrain de jeu pour ces histoires terrifiantes s’est ouvert. Découvrons ensemble les légendes urbaines les plus folles qui ont émergé dans l’univers des jeux vidéo, en espérant que vous n’en fassiez pas de cauchemars par la suite !
Polybius : le jeu vidéo qui rendait fou
Dans les années 80, une rumeur persistante a circulé à propos d’un mystérieux jeu d’arcade nommé Polybius. Selon la légende, ce jeu était installé dans quelques salles d’arcade aux États-Unis et provoquait des effets néfastes sur ses joueurs. Hallucinations, amnésie, voire suicides étaient attribués à ce jeu maudit. Certains affirmaient même que le gouvernement américain récupérait les données des joueurs à des fins expérimentales.
A ce jour, aucune preuve concrète de l’existence de Polybius n’a été trouvée. Pourtant, cette histoire continue d’intriguer et de passionner les amateurs de jeux vidéo et de folklore urbain.
BEN Drowned : une expérience horrifique dans Zelda
En 2010, un internaute prétend avoir acheté une cartouche du célèbre jeu vidéo The Legend of Zelda: Majora’s Mask sur Nintendo 64. Selon le récit de cet individu, la cartouche était hantée par l’esprit d’un jeune garçon nommé Ben, qui se serait noyé. Les événements étranges et effrayants que ce joueur aurait vécus en jouant ont donné naissance à la légende urbaine de BEN Drowned.
Depuis, cette histoire a pris une ampleur considérable, avec des vidéos YouTube montrant les prétendues manifestations de Ben dans le jeu. Bien que la plupart des personnes considèrent cette histoire comme une simple creepypasta (une histoire fictive et horrifique), elle demeure l’une des légendes urbaines les plus emblématiques de l’histoire des jeux vidéo.
Killswitch : le jeu qui s’autodétruit
Peu d’histoires ont autant suscité la curiosité des gamers que celle de Killswitch, un jeu vidéo obscur créé par la société russe Karvina Corporation en 1989. La légende raconte que ce jeu d’aventure et d’horreur en 8 bits ne pouvait être joué qu’une seule fois. En effet, une fois terminé, il s’autodétruisait, rendant impossible toute tentative ultérieure pour y jouer.
La rumeur veut qu’il n’existe plus aucune copie de Killswitch à l’heure actuelle, ce qui alimente les spéculations et les fantasmes des collectionneurs de jeux vidéo. L’histoire de Killswitch est-elle vraie ou simplement une légende urbaine ? Le mystère reste entier.
Lavender Town Syndrome : la mélodie qui tue
La saga Pokémon est loin d’être exempte de légendes urbaines. L’une des plus célèbres concerne la village Lavender Town, présent dans les premières versions du jeu sur Game Boy. Selon la rumeur, la mélodie jouée dans cette ville aurait provoqué des maux de tête intenses, des nausées et même des suicides chez les enfants japonais ayant joué à Pokémon Rouge et Vert en 1996.
Cette histoire morbide a été largement démentie depuis, mais elle continue d’alimenter les discussions et les théories conspirationnistes sur Internet. La mélodie de Lavender Town demeure un symbole fort et inquiétant pour les amateurs de légendes urbaines et de jeux vidéo.
Conclusion : entre réalité et fiction
Les légendes urbaines autour des jeux vidéo témoignent de notre fascination pour le mystère, l’inexpliqué et le surnaturel. Si la plupart d’entre elles sont avérées fausses ou exagérées, elles n’en restent pas moins captivantes et intrigantes. Que vous soyez un adepte des creepypastas ou simplement curieux d’en savoir plus sur ces histoires incroyables, n’hésitez pas à partager vos découvertes et vos réflexions dans les commentaires. Et surtout, gardez bien à l’esprit que le monde des jeux vidéo recèle parfois des secrets insoupçonnés…
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