Origine de l’Informatique

Pour pouvoir retracer l’origine de l’Informatique, il est indispensable d’en donner une définition. Même si depuis des décennies on l’utilise, on peut parier que beaucoup ne pourront en donner une définition concise et même si celle-ci est donnée, il n’y aura pas de définition unique ou uniforme. Sans être du domaine de l’abstrait, il reste assez vague.

Nous allons utiliser la définition basique et palpable : le mot informatique est constitué par l’association du terme « information » au suffixe « -ique ». Généralement le suffixe « ique » indique « ce qui est propre à ». De cette association on peut dès lors dire que l’Informatique et ce qui est propre aux traitements de l’Information. Au-delà de cette définition pourtant, de par son utilisation, on sait bien que lorsqu’on travaille sur l’informatique on ne se contente pas de faire des traitements d’informations par textes manuscrits ou verbaux. Il faut un outil, et cet outil là c’est l’ensemble qui constitue tout ce qui est lié à l’informatique : non seulement un ordinateur (appellation commune) mais aussi tout ce qui le constitue : à l’intérieur on retrouve l’unité centrale, ce disque dur où plusieurs programmes ont été mis en œuvre aux fins de donner un sens à une utilisation technique, programmée et sensée de cet outil.

Après cette première définition, on sera plus à l’aise de parler de l’origine de l’informatique. Communément, on dit que le premier ordinateur est apparu peu après la deuxième guerre mondiale (source Wikipédia). Si on s’arrête alors à cette indication (apparition du premier ordinateur et définition de ce qu’est l’informatique), on peut déduire que celle-ci est apparue après la deuxième guerre mondiale avec l’apparition du premier ordinateur. Jusque-là on parle de l’informatique dans son aspect simplifié : outil de travail exécuté sur un appareil nommé ordinateur. Ce point est souligné parce que s’il y a un domaine qui ne cesse d’évoluer c’est bien celui-ci. Un peu de fouilles dans les archivages de magazines ou de journaux, et voilà qu’à travers chaque décennie on fait face à des différences flagrantes quant à l’aspect extérieur d’un ordinateur. Les utilisateurs de leur côté sont départagés : ceux qui se ravissent de tant d’évolution, et ceux qui se rechignent, ne voulant pas passer à l’apprentissage de nouvelles versions. Mais quoi qu’il en soit, on ne peut imaginer aujourd’hui un ordinateur qui ressemble à celui d’il y a quinze ou vingt ans. On ne peut s’arrêter à l’aspect original du domaine de l’informatique.