La cybercriminalité

Si internet permet d’accéder à presque toutes les informations utiles aussi bien dans la vie quotidienne que professionnelle d’un individu, il n’est pas exempt de risques relativement importants pouvant affecter l’individu en question.

Les virus informatiques ne sont pas les seuls responsables de mésaventures en milieu informatique. L’utilisation imprudente ou non sécurisée, expose l’individu à des risques conséquents, dont principalement la cybercriminalité.

Si les jeux, applications ont été développées pour changer notre quotidien, il existe parallèlement des développeurs de programmes malveillants. Il s’agit des pirates ou groupes malintentionnés de l’informatique qui sévissent un peu partout et qui ont la possibilité d’accéder aux systèmes informatiques, aux comptes de réseaux sociaux, aux échanges de courriels, etc. Ils œuvrent ainsi  sans scrupule dans le domaine de ce qu’on appelle la cybercriminalité qui se définit comme étant les actes accomplis et/ou calculés et mis en œuvre par des cybercriminels.

Le mode opératoire des cybercriminels 

Leur objectif final étant d’utiliser de manière illégale les ressources disponibles au sein des ordinateurs de leurs victimes, pour pouvoir ainsi exploiter les données afférentes à celles-ci (en dérobant des codes d’accès à des informations personnelles qui leur sont liées), les cybercriminels procèdent généralement comme suit :

  • Ils créent, développent de programmes malveillants
  • Ils distribuent des courriers indésirables est anonymes aux destinataires dont ils ont acquis les adresses email de différentes manières (on va en parler sous un autre point)
  • il existe aussi l’aspect assez « bête » qui permet aux pirates d’accéder à nos données personnelles. Il s’agit des victimes qui vont dans les cybercafés et qui oublient de déconnecter leurs comptes et d’effacer l’historique personnel

Une fois que les cybercriminels sont en possession des données et codes d’accès aux comptes des victimes, ils peuvent dès lors les utiliser de manière à : prospecter des données encore plus approfondies concernant la victime, utiliser leurs adresses physiques ou simplement les adresses emails pour des correspondances douteuses. Par exemple soutirer, au nom de la victime, de l’argent auprès de ses contacts, soutirer ou émettre des informations qui remettent en cause la victime, et qui seront utilisées plus tard contre elle : chantages.

Ils peuvent aussi, avoir décrypté les informations bancaires de la victime. Ce cas est assez courant et c’est le plus dangereux car le pirate peut ainsi effectuer des achats en procédant au mode de paiement via la carte bancaire de la victime.

Quant aux comptes de réseaux sociaux, si les cybercriminels parviennent à y accéder, le danger est d’origine diverse : simple (mais conséquente) propagation de mauvaise image de la victime, pièges tendus envers les contacts. Pour les mineurs, les risques sont encore plus grands et les suites bien plus néfastes : répercussions morales, physiques ou encore psychologiques.

Dans beaucoup de pays, la cybercriminalité peut être rapportée auprès des forces de l’ordre. Et c’est la meilleure chose à faire, dès qu’un doute s’installe à travers des faits biens palpables, il faut toutefois penser à vérifier ses dires afin de ne pas être accusé de diffamation.

Soyez le premier à commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*